•  JACKSON FAMILY'S BIRTHDAYS

    Maman de Michael Jackson, Katherine Jackson, vient de trainer devant la justice le promoteur AEG, selon une information révélée par « TMZ.com ».

    Dans son dossier de plainte déposé au début de la semaine devant la cour supérieure de Los Angeles, la maman du chanteur américain prétend que cette société californienne était au courant du comportement dangereux de Dr Conrad Murray, médecin personnel du chanteur. Ce dernier avait rappelons le, injecté une surdose de Propofol, en cause dans la mort de Michael Jackson, décédé en juin 2009. «Les traitements médicaux prescrits par ce docteur pouvaient provoquer un arrêt cardiaque », peut-on lire dans dossier, rendu public par TMZ.com, précisant que AEG ne pouvait pas ignorer le comportement dangereux de Dr Conrad Murray, embauché par cette société pour s’occuper de la santé de Michael Jackson.


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  • JACKSON FAMILY'S BIRTHDAYS

    Le frère aîné de Michael Jackson revient sur le récent album posthume du défunt « Roi de la pop » et donne des nouvelles de ses neveux.

    C'est dans la suite d'un grand palace de la Croisette qu'il répond sans langue de bois à presque tout. Sauf aux soucis financiers qui l'opposent à son ex-compagne. Une question que nous n'avons pas eu le droit de lui poser.

    FRANCE-SOIR. Le disque posthume de votre frère Michael n'a pas rencontré le succès escompté. Cela vous étonne-t-il ?

    JERMAINE JACKSON. Non ! Parce que cet album, ce n'est pas sa musique ! Je sais que tout n'est pas de lui... et le public ne s'y trompe pas.

    F.-S. Alors pourquoi avoir autorisé sa sortie ?

    J. J. Ma famille n'a pas eu son mot à dire. C'est la maison de disques Sony qui a monté ça toute seule. Juste par intérêt financier.

    F.-S. C'est une manière de nous dire que vous ne profitez pas de l'image de votre frère ?

    J. J. Ce sont eux qui gèrent le patrimoine de mon frère. Ils font ce qu'ils veulent et à la fin de l'année nous reversent un pourcentage. Ma famille et moi ne profitons pas de l'image de Michael puisque nous ne sommes même pas consultés ! Certains essaient de nous séparer mais nous sommes une famille unie.

    F.-S. Les gagnants français de l'émission A la recherche du nouveau Michael Jackson (W9) vont participer au spectacle Génération Moonwalk, à voir au Zénith de Paris le 25 juin. Quel avenir leur prédisez-vous ?

    J. J. S'ils sont bien entraînés et entourés, ils peuvent arriver à un certain succès.

    F.-S. Pensez-vous qu'il existe, quelque part dans le monde, un nouveau Michael Jackson ?

    J. J. Non. Beaucoup de gens ont été influencés et ont connu le succès grâce à cela, mais il n'y a qu'un seul Michaël.

    F.-S. Comment vont Prince, Paris et Prince Michael II, les enfants de votre frère ?

    J. J. Très bien. J'ai parlé ce matin à ma mère, qui en a la garde. Ils sont tout le temps avec mes enfants. Je les vois très souvent puisqu'ils vivent à côté de chez moi.

    F.-S. Que veulent-ils devenir plus tard ?

    J. J. Ils adorent l'univers du cinéma et sont incollables sur les métiers de producteurs, réalisateurs... Pas de doute : ce sont des Jackson ! Quant à mes enfants, Jaafar (15 ans) et Jermajesty (11 ans), ils veulent faire de la musique. Jermajesty a la voix de Michael et Jaafar un peu la mienne. Ils veulent s'amuser à faire des titres comme ABC et souhaitent que je termine très vite mon travail en France pour que je les aide.


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  • JACKSON FAMILY'S BIRTHDAYS

    Avant les NRJ Music Awards samedi à Cannes et Génération moonwalk en juin, Jermaine s’est confié à “ Nice-Matin ”, à l’hôtel Majestic-Barrière.

    Etre à Cannes pour les NRJ Awards, ça doit vous rappeler des souvenirs, du temps où vous y aviez reçu un prix avec Pia Zadora pour le fameux tube When The Rain Begins To Fall en 1985?

    Bien sûr! Cette chanson avait connu un succès dans toute l’Europe. A Cannes, l’accueil avait été formidable. J’adore d’ailleurs le sud de la France, ça me rappelle la Californie et Cannes est la jumelle de Miami. (Hier) soir, je suis venu remettre un prix, mais j’adorerais revenir pour chanter.

    C’était aussi le temps de votre album Dynamite et vos grands succès en solo, comme Do What You Do ou Take Good Care Of My Heart, en duo avec Whitney Houston. Le top de votre carrière?

    On n’est jamais au top, il y a toujours des montagnes à gravir. Si on éprouve beaucoup d’amour et de passion pour la musique, et si l’on y met tout son cœur, alors, il ne faut jamais se fixer de limites. Aujourd’hui, j’aimerais utiliser des instruments du Maroc ou de Tunisie pour expérimenter de nouvelles sonorités, inspirer une nouvelle créativité.

    Avec un nouvel album?

    Dès lundi matin, je travaille sur un nouvel album que je vais réaliser en France. Je suis très excité à l’idée de bosser avec des musiciens français. Pour moi, c’est très important de faire de la musique ici, ailleurs qu’en Californie, ça permet de trouver de nouvelles vibrations.

    A travers vous, c’est aussi l’héritage de Michael Jacksonque vous perpétuez?

    Je crois que son souhait, c’était que l’on continue tous, pour lui, mais aussi pour toute la famille. On a d’ailleurs créé un show musical pour novembre, basé sur toute la vie de la famille Jackson, avec certaines chansons des uns et des autres, de Michael, Janet ou moi-même. Il y aura une tournée mondiale qui passera aussi par Marseille. En deux heures de spectacle, on relatera quarante ans de notre histoire familiale.

    Elle se confond avec l’histoire de la soul music, à l’image de l’empreinte qu’a laissé Michael?

    On est des Afro-Américains, mais on n’a jamais fait véritablement de la Soul’n’Rnb. On a toujours fait de la World Music, car elle touchait le monde entier. L’empreinte de Michael se trouve dans le message véhiculé par notre musique, dans ses paroles qui touchent le cœur des gens, ce n’est pas seulement le pas de danse Moonwalk.

    Avec le recul, vous ne regrettez pas d’être resté chez Motown, quand vos frères ont créé les Jackson Five chez Epic?

    Mon frère voulait aller chez Sony, mais j’estimais qu’il fallait rester fidèle à Motown, où le groupe était né. La loyauté est un mot qui m’est très cher…

    Malgré tout, vous avez conservé des liens privilégiés avec Michael?

    Oui. Jusqu’au dernier souffle de Michael, on se parlait, on était en contact, car on avait les mêmes idées, la même façon de voir les choses, de considérer la vie. A tel point que lorsqu’on voyageait, chacun à des moments différents, on se rendait compte qu’on avait les mêmes amis aux mêmes endroits. Un jour, je vais en Afrique du Sud pour voir Nelson Mandela. Je vois soudain mon frère Michael et je lui ai dit : « Mais qu’est-ce que tu fais là? » Et lui m’a répondu : « Je suis venu voir Nelson Mandela, et toi, qu’est-ce que tu fais là? » [Rires].

    Au-delà du personnage médiatique, quelle image intime conservez-vous de lui?

    Quand on était tout jeunes, en hiver, on regardait par la fenêtre pour chanter des chants de Noël. A l’époque, en tant que Témoins de Jéhovah, on ne pouvait pas le fêter, alors on le chantait tous les deux. Depuis, même si je suis musulman, j’adore Noël car pour moi, c’est resté un moment plein de joie. [Soudain très ému] Vous savez, j’ai quatre ans de plus que Michael et je me dis qu’il n’aurait jamais dû partir si tôt, si jeune. Je connaissais vraiment son esprit, et je peux vous dire que Michael était un être extraordinaire.

    Vous vous posez en garant de sa mémoire. Vous ne craignez pas qu’elle soit en partie salie?

    Non. Même quand Michael était vivant, les gens savaient vraiment qui il était au fond, et on ne pouvait pas les tromper. C’est pour ça que lorsqu’il est mort, des milliards de personnes ont pleuré. Les médias, surtout CNN et la Fox, ont tenté de manipuler l’opinion publique par de la propagande. Mais il a touché le cœur des gens par sa musique et son message. Il faut réécouter les paroles de The Man In The mirror, toute son humanité est là.

    Êtes-vous satisfait de l’album posthume Michael?

    Non, pas du tout! Ça n’a rien à voir avec la famille qui a été mise devant le fait accompli sans être consultée, et ne contrôle rien. Pour faire de l’argent, même après la mort de Michael, ils ont été jusqu’à rajouter de fausses voix, mais les fans de Michael savent bien que ce n’est pas lui.

    Vous aviez enregistré un beau duo avec lui, Tell Me I’m Not Dreamin’ en 1984.Vous auriez aimé en refaire un?

    En réalité, on a enregistré des chansons tous les deux, dans un studio à Bahreïn. Mais elles ne sortiront pas, je garde ces chansons pour moi, dans mon cœur.

    En juin, vous serez au Zénith à Paris pour le deuxième Génération moonwalk de M6. Vous allez interpréter son pas?

    Oh non, non, non! Personne ne peut faire le Moonwalk comme Michael. Moi, je suis bassiste et chanteur, j’ai l’impression que j’ai toujours été le grand frère qui protégeait le groupe. Mais Michael reste Michael. À jamais.


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  • JACKSON FAMILY'S BIRTHDAYS

    Un groupe de fans chinois de Michael Jackson a levé des fonds pour faire faire la toute première statue du "King of Pop" de Chine, dévoilée au tout début du mois.

    Le mémorial a coûté 158 000 yuans (17 720 euros) aux fans du chanteur. Le projet a bien sûr dû être approuvé par le gouvernement local, et a été mis en place le 1er janvier 2011.

    La statue, une œuvre du sculpteur Lu Zhenkang a été installée dans le Parc des Sculptures de Canton, dans la province du Guangdong (sud de la Chine).

    Lors de l'inauguration, de l'argent a été récolté pour être distribué à des œuvres caritatives, dans le but d'honorer le message d'amour de Michael Jackson : "Je suis très heureux de voir que nos rêves deviennent finalement réalité", a déclaré Huang Zhenhui, le chef de ce projet.


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    JACKSON FAMILY'S BIRTHDAYS

    Les gestionnaires du patrimoine de Michael Jackson surveillaient depuis un bon moment les projets mis en œuvre par l'homme d'affaires Howard Mann, lui reprochant d'exploiter illégalement l'image de l'artiste. Rappelé à l'ordre à maintes reprises, Mann fait cette fois-ci l'objet de poursuites judiciaires engagées par l'Estate de Michael Jackson, notamment pour atteinte aux droits d'auteur.

    L'affaire prend racine il y a plusieurs années : en 1993, la famille Jackson décide de racheter l'entreprise d'un dénommé Henry Vaccaro, qui connaît à l'époque d'importantes difficultés financières (notons que Michael et Janet Jackson n'étaient pas impliqués dans ces transactions). Fort de cette promesse, Vaccaro prête 60 000 dollars à la famille pour financer le stockage de divers objets leur appartenant (costumes de scène, enregistrements audio, dessins réalisés par Michael Jackson, disques d'or, accessoires vestimentaires, etc). Finalement, les Jackson décident de ne pas mener à bien l'achat. Voyant que la famille s'est désistée et ne lui rembourse pas les sommes prêtées, Vaccaro porte plainte et gagne le procès. Les Jackson sont condamnés à lui verser 1.4 million de dollars.

    Malheureusement, la famille ne dispose pas de cette somme à l'époque. En guise de compensation, à la place de l'argent, Henry Vaccaro se voit accorder le droit de garder tous les objets de la famille dont il a financé le stockage. Lorsqu'il décide de revendre ces objets à une société européenne, Michael et Janet Jackson portent plainte de concert. Après de multiples péripéties judiciaires, Vaccaro est autorisé à vendre une partie des objets. Michael Jackson récupère ceux de son choix avant la mise en vente. Celle-ci génère une couverture médiatique sans précédent, notamment parce qu'Henry Vaccaro espère tirer profit de sous-vêtements ayant supposément appartenu à Michael Jackson, censés constituer le "clou de la vente". Il tente d'abord de les mettre aux enchères sur eBay mais le site n'autorise pas la commercialisation de sous-vêtements usagés. Vaccaro décide donc de bâtir son propre site Internet pour les vendre... et s'offre même le luxe de faire de la publicité pour "les sous-vêtements de Michael Jackson" via des liens sponsorisés, comme en témoigne la capture d'écran ci-dessous réalisée à l'époque. Publicité pour le slip de Michael Jackson

    Selon certaines sources, Henry Vaccaro se serait trouvé en faillite personnelle et aurait revendu à Howard Mann les objets qu'il possédait. Selon d'autres sources, Vaccaro serait toujours propriétaire des objets mais Howard Mann se chargerait de leur exploitation commerciale. Tout comme Vaccaro en son temps, Howard Mann prétend avoir la liberté d'exploiter ces objets comme il l'entend et a donc créé un site Internet à travers lequel il commercialise ou diffuse les photos et enregistrements audio qu'il détient.

    L'Estate de Michael Jackson a déjà tenté d'agir à plusieurs reprises en lui adressant des courriers et avertissements, qui ont tous été ignorés. Dans leur plainte, les administrateurs du patrimoine de l'artiste expliquent : "D'une manière qui ne peut être décrite que comme un mépris insolent des droits de l'Estate et de la loi, les accusés ont bâti un site Internet dont le seul but est d'exploiter le nom, la ressemblance, l'image, les droits d'auteur, les marques déposées et les actifs incorporels de Michael Jackson à travers des produits qu'ils vendent pour leur propre profit. Ce site - qui utilise les URL "MichaelJacksonSecretVault.com" et "JacksonSecretVault.com" - fait absolument tout ce qui est en son pouvoir pour suggérer à ses visiteurs que c'est la plateforme de référence pour tout ce qui concerne Michael Jackson et qu'il est approuvé et soutenu par l'Estate alors que ce n'est pas le cas. A la place, le site regorge d'utilisations illégales des biens dont la propriété intellectuelle revient à Michael Jackson ce qui inclut, sans s'y limiter, des photos, des œuvres sous copyright, des enregistrements sonores et des paroles de chansons".

    John McClain et John Branca listent une impressionnante série d'infractions commises par Howard Mann, parmi lesquelles : l'exploitation non autorisée d'extraits du film This Is It, de créations graphiques réalisées pour promouvoir le film, de captures d'écran, de photos de Michael Jackson, de son nom, d'enregistrements audio (cf le scandale Opus None). L'Estate reproche à Mann de suggérer par différents moyens que ses activités bénéficient d'un soutien officiel, souligne que le logo de la société fondée par Mann, "Vintage Pop Media", intègre une posture typique de Michael Jackson, le lean (il s'agit du mouvement réalisé par l'artiste lorsqu'il se penche en avant dans le clip Smooth Criminal).

    Il est également question de la parution du livre "Never Can Say Goodbye", qui est officiellement le fruit d'une collaboration entre Howard Mann et Katherine Jackson. Le livre contient des remerciements adressés à l'Estate alors que ce dernier explique ne jamais avoir participé ou approuvé la création du livre, dont il n'a appris l'existence qu'après sa publication. Plusieurs dessins réalisés par Michael Jackson y ont notamment été publiés sans autorisation de l'Estate (qui en détient les droits). Selon les chiffres divulgués par Mann sur le site Internet, 25 000 exemplaires de l'ouvrage auraient été vendus "en moins de 48h".

    La plainte mentionne aussi un événement organisé par Howard Mann "au bénéfice de la Heal The World Foundation". Or, cette fondation jadis créée par Michael Jackson n'existe plus aujourd'hui. Après la disparition de la fondation, une association a été créée sous le même nom par une femme prénommée Melissa Johnson mais n'a aucun lien avec les représentants de l'artiste, si bien que Johnson a été poursuivie en justice et s'est vu interdire d'exploiter le nom "Heal The World Foundation". Les avocats qui défendaient Johnson dans sa bataille judiciaire contre l'Estate ont décidé d'abandonner le dossier et en novembre 2010, Johnson a recruté un nouvel avocat... qui n'est autre que celui d'Henry Vaccaro et d'Howard Mann.

    A la même période, Melissa Johnson a conclu un accord commercial avec Howard Mann, qui lui permet de toucher une partie des profits réalisés par l'homme d'affaires. Pourquoi Melissa Johnson est-elle une associée si intéressante pour Howard Mann ? Elle affirme avoir reçu des soutiens officiels de l'équipe de Michael Jackson l'autorisant à agir en son nom et à exploiter certaines marques déposées (notamment le nom de la "Heal The World Foundation"). Elle a été en mesure de fournir notamment des déclarations de Brian Oxman (ancien avocat de l'artiste, licencié en 2005 et travaillant désormais au service de son père, Joe Jackson) appuyant ses dires... si bien qu'il existe un certain flou autour de l'usage qu'elle peut faire des marques déposées dont elle a le contrôle. Howard Mann compte probablement exploiter ce flou pour confier à Melissa Johnson la responsabilité de promouvoir les objets qu'il possède : il espère ainsi se protéger juridiquement ; en échange, Melissa Johnson touche un tiers des bénéfices.

    Comme vous pouvez le constater, l'affaire est complexe et repose sur des partenariats qui dépassent les frontières du site Internet créé par Howard Mann. A ce jour, l'Estate réclame des dommages et intérêts mais souhaite avant tout prévenir toute exploitation future de l'image de Michael Jackson par Howard Mann, sa société ou ses associés.

     

    Source : Elusive Shadow


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