• Un tas de nouvelles photos de PARIS font surface sur le net en ce moment je vous propose de vous en faire découvrir quelques-unes

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    VOUS POUVEZ TROUVEZ PLUS DE PHOTOS DES ENFANTS DU KING SUR KINGOFPOP-KIDS.COM

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  • Rappel : Conrad R. Murray, 57 ans, qui était le médecin de Michael Jackson au moment de sa mort, fait face à la justice qui l'accuse d'homicide involontaire. Les audiences préliminaires ont débuté le 4 janvier ; elles visent à déterminer si un procès est nécessaire. 16 témoins se sont déjà présentés à la barre au cours des quatre premiers jours (l'accusation envisage d'en appeler entre 20 et 30, selon les déclarations faites par le procureur adjoint David Walgren dans sa plaidoirie d'ouverture).

    19h00 (heure française),10h00 (heure locale) - Aujourd'hui, l'audience a débuté à 9h mais le juge a décidé de consacrer une heure à traiter des sujets d'ordre procédural (examen de motions, etc), si bien que les témoignages ne reprennent véritablement qu'à dix heures, comme nous vous l'avions annoncé la semaine dernière. On peut donc supposer que les premières mises à jour sur le contenu des débats seront plus tardives qu'à l'accoutumée. Les noms des témoins du jour n'ont pas été communiqués par l'accusation.

    10h20 (heure locale) - Au cours de l'heure consacrée à des points de procédure, les avocats de Conrad Murray ont évoqué avec le juge les recherches menées sur l'iPhone du médecin. Ils tenaient à s'assurer que le secret professionnel client-avocat avait été respecté. Le juge a statué que les données récemment recueillies sur le téléphone en question pouvaient être considérées comme des preuves. Ed Chernoff, l'avocat de Murray, a expliqué qu'il s'agissait de "brefs messages vocaux" et de 12 captures d'écran. C'est grâce à l'enquête menée sur les téléphones que l'accusation a pu reconstituer une chronologie assez précise des faits.

    Une large part des discussions s'est ensuite déroulée en chambre du Conseil. Autrement dit, hors de portée des journalistes et des personnes présentes dans la salle d'audience. L'accusation a fait part de son intention de faire venir des experts en toxicologie à la barre, soit au cours de cette audience, soit demain. Vers 10h05, défense et accusation sont revenues dans la salle d'audience. Le procureur David Walgren a réclamé un quart d'heure pour examiner certains documents qui ont été modifiés suite aux débats avec le juge Pastor avant de commencer l'audience proprement dite. Une brève suspension d'audience a donc été décidée.

    10h55 (heure locale) - Le premier témoin du jour a été Stephen Marx, expert en récupération de données informatiques aujourd'hui retraité. C'est lui qui a été chargé d'extraire les données récupérables sur l'iPhone de Conrad Murray (qu'il a obtenu le 28 juillet 2009). Il a commencé par répondre à quelques questions techniques puis a expliqué qu'il avait pu récupérer plusieurs captures d'écran (images au format jpg). Pour certaines d'entre elles, il a été en mesure de récupérer la date à laquelle elles ont été consultées. Il a également pu récupérer un e-mail daté du 25 juin adressé à Conrad Murray, de la part d'un assureur londonien prénommé Bob Taylor (Note : il est probable qu'il s'agisse de l'un des deux représentants de la firme Robertson Taylor, assureur leader dans le monde du spectacle, compagnie fondée en 1977 par Robert Taylor et William Robertson), reçu à 5h54 (heure de Los Angeles).

    Marx a pu confirmer que cet e-mail avait été lu par Conrad Murray et qu'il comportait des questions relatives à la santé de Michael Jackson (apparemment, l'assureur s'inquiétait au sujet de la santé de l'artiste après avoir lu des articles de presse). Il a également pu démontrer que Murray avait répondu à l'e-mail en question à 11h17, heure de Los Angeles, en précisant que les déclarations des médias à ce sujet étaient fausses, que Michael Jackson était en bonne santé et qu'il ne pouvait pas lui communiquer le dossier médical de l'artiste.

    12:05 (heure locale) - Le pharmacien Tim Lopez, responsable d'Applied Pharmacy Services (pharmacie de Las Vegas), a ensuite témoigné à la barre. Il a expliqué que sa pharmacie était spécialisée en préparations magistrales et fournissait aux médecins les médicaments nécessaires à leurs patients. Pour vérifier qu'il a bien affaire à une personne autorisée à commander, il contrôle à chaque fois l'identité de son interlocuteur (son statut : médecin, vétérinaire, etc, son numéro de licence médicale et son numéro d'enregistrement à la DEA : ce dernier est fourni à chaque professionnel de santé et l'autorise à prescrire des médicaments réglementés).

    Son premier contact avec Conrad Murray a été téléphonique, en novembre 2008 : le médecin lui a expliqué qu'il avait beaucoup de patients Afro-Américains dont certains souffraient du vitiligo. Il a donc réclamé du Benoquin (une crème utilisée pour traiter les symptômes de la maladie) dans une concentration bien précise. Après avoir mené des recherches, le pharmacien n'a pas été en mesure de l'aider à obtenir la concentration désirée mais ne recevant pas de nouvelles de Murray, il n'a pas donné suite

    Murray l'a rappelé au printemps 2009, réclamant de nouveau du Benoquin. Le pharmacien a relancé ses recherches et cette fois-ci, est parvenu à trouver la crème dans une concentration réclamée par Murray. Il l'a donc recontacté en lui précisant qu'il avait trouvé un fournisseur. Murray a commandé 40 tubes de 30g. Cela n'a pas semblé anormal pour le pharmacien. Le médecin a récupéré et réglé sa commande et a demandé si les livraisons pouvaient être adressées à son cabinet.

    Peu de temps après, Murray l'a recontacté en lui disant qu'il était satisfait de la crème et a commencé à se renseigner au sujet du propofol et du sérum physiologique : il souhaitait savoir s'il était possible d'en faire livrer pour sa clinique. Il a pu ainsi passer commande. Le propofol commandé se présentait sous deux formes : des cartons contenant 10 flacons de 100 mL et d'autres cartons contenant 25 flacons de 20 mL. Selon Lopez, les achats de Conrad Murray ont débuté le 6 avril 2009 par une première commande d'un carton de 10 flacons de 100 mL, un carton de 25 flacons de 20 mL, neuf poches de sérum physiologique et des tubes de Benoquin. Murray aurait alors demandé si une partie de sa commande pouvait être livrée à Santa Monica, affirmant qu'il possédait une clinique à Los Angeles.

    Peu après, le 28 avril 2009, Murray a passé une nouvelle commande de 4 cartons de 10 flacons de 100 mL et 25 flacons de 20 mL, également livrés à Santa Monica, ainsi que 20 flacons de diazepam et 20 de lorazepam. Murray lui a également signalé que son patient se plaignait de la douleur causée par l'injection et a donc réclamé un anesthésique local, la lidocaïne. Il a aussi demandé au pharmacien s'il disposait d'une solution pouvant "redonner de l'énergie" à quelqu'un. Le 12 mai 2009, nouvelle commande : 4 cartons de 10 flacons de 100 mL de propofol, 1 carton de 25 flacons de 20 mL, du diazepam et de la lidocaïne. Un peu plus tard, Murray est de nouveau revenu vers lui, affirmant que le dosage de la lidocaïne n'était pas assez fort. A sa demande, le pharmacien lui a préparé divers échantillons avec des dosages différents pour qu'il décide lequel était le plus adapté.

    En juin, le pharmacien a concocté 30 capsules à visée "énergisante", comme le lui avait réclamé Murray, en mélangeant ephédrine, caféine et aspirine. Le 10 juin, Murray a passé une nouvelle commande : 4 cartons de 10 flacons de 100 mL et 2 autres contenant des doses de 20 mL... sans oublier le Benoquin et la lidocaïne. Commande expédiée, comme les précédentes, à Santa Monica. Le 15 juin, nouvelle commande : lorazepam, diazepam, 12 poches de sérum physiologique... envoyés une fois de plus à Santa Monica.

    Bilan de ces achats : 255 flacons de Propofol au cours des trois mois précédant le décès de Michael Jackson (130 flacons de 100 mL et 125 flacons de 20 mL).

    Les reçus FedEx qui avaient été montrés à Nicole Alvarez, la compagne de Conrad Murray ayant réceptionné les colis en Californie, ont été présentés à Tim Lopez, qui a confirmé qu'ils concordaient avec les dates des commandes passées chez lui.

    Lors du contre-interrogatoire, Tim Lopez a confirmé qu'il avait fait toutes les vérifications nécessaires pour s'assurer que Conrad Murray était habilité à solliciter ces substances. Il a par ailleurs expliqué qu'aucune règlementation ne l'obligeait à envoyer les médicaments à un hôpital dès lors que la personne qui les commandait était habilitée à le faire (autrement dit, il semblerait que les vérifications s'effectuent en amont et consistent à s'assurer que la personne qui passe commande est bien médecin ; une fois que ceci est confirmé, le médecin peut faire livrer sa marchandise où il le souhaite). Il a par ailleurs précisé qu'il n'avait jamais été informé du devenir des médicaments commandés par Murray, ce qui était chose courante : en effet, il est fréquent que les médecins passant commande ne fournissent pas le nom des patients pour des raisons de confidentialité.

    13h15 (heure locale) - Début de l'audience de l'après-midi.

    14h30 (heure locale) - Pause de l'après-midi. L'occasion pour nous de faire le bilan du témoignage qui vient d'avoir lieu : celui de Jaime Lintemoot, criminologue employée par le bureau du coroner de Los Angeles, dont la spécialité principale est la toxicologie. Son intervention s'est avérée particulièrement détaillée sur le plan biologique puisqu'elle a exposé dans le détail les doses de chaque substance retrouvée dans les différents éléments qui ont été analysés (matériel médical et prélèvements sur le corps de Michael Jackson). En l'absence de transcription officielle des audiences, il n'est pas possible de retranscrire avec fiabilité ces données. Nous nous limiterons donc à les exposer dans les grandes lignes. Notez que certains éléments de ce témoignage peuvent heurter la sensibilité des lecteurs.

    La témoin a d'abord détaillé ses qualifications, qui lui confèrent un statut d'expert (elle a ainsi affirmé avoir réalisé des milliers de tests toxicologiques au cours de sa carrière et connaît bien la pratique des tests liés aux propofol puisque c'est elle qui a mis au point la méthode permettant d'identifier cette substance dans un corps humain). Sa découverte lui a valu d'être sollicitée à chaque fois qu'un décès impliquant le propofol survenait dans sa juridiction.

    Elle a expliqué qu'elle avait réalisé des tests sur tous les échantillons qui lui ont été fournis (échantillons sanguins prélevés à l'hôpital, échantillons sanguins prélevés au niveau du cœur, échantillons de tissus d'organes prélevés sur le corps, etc) et avait retrouvé du propofol partout. Elle a fourni à la Cour un document de 8 pages rassemblant ses conclusions sur le sujet, document qui a été commenté dans la salle d'audience (lecture des dosages, etc). Par ailleurs, elle a également effectué des tests sur du matériel médical retrouvé dans la chambre de Michael Jackson.

    Lors du contre-interrogatoire, Flanagan lui a demandé si elle avait recherché autre chose que le propofol et la lidocaïne. Elle a répondu qu'elle ne s'était occupée que du propofol (mais avait précisé lors de l'interrogatoire direct que d'autres criminologues étaient intervenus pour rechercher d'autres substances). L'avocat de Murray lui a également fait préciser le contenu de la poche à perfusion retrouvée dans la chambre, qui ne contenait aucun médicament (rappelons que selon les témoignages précédents, Conrad Murray a fait remplacer la poche contenant du propofol par une autre contenant du sérum physiologique).

    Flanagan a beaucoup insisté sur le contenu de l'estomac de Michael Jackson prélevé lors de l'autopsie, demandant si on y avait retrouvé des traces de jus de fruit, de nourriture. Une fois encore, les objections de l'accusation ont plusieurs fois été retenues donc il n'a pas pu exposer sa théorie jusqu'au bout. Cependant, on peut supposer qu'il cherchait à savoir s'il était possible que Michael Jackson ait consommé du Propofol par voie orale, dilué avec de la nourriture ou un liquide (des bouteilles de jus de fruit ayant été retrouvées dans la chambre). Jaime Lintemoot a déclaré que le contenu de la bouteille de jus de fruit présente sur la table de chevet n'avait pas fait l'objet de tests.

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    15h55 (heure locale) - Les fans ont une fois de plus eu recours à la voie des airs pour faire passer un message, comme cela avait déjà été le cas lors d'une audience antérieure. Cette fois-ci, c'est une banderole réclamant que les chefs d'accusation contre Conrad Murray soient alourdis qui a flotté au-dessus du tribunal.

    16h15 (heure locale) - L'audience vient de s'achever et le dernier témoin de la journée a été Orlando Martinez, travaillant à la division Vol-Homicide de la police de Los Angeles dont il est l'un des principaux enquêteurs. Il a été mobilisé pour travailler sur l'affaire Murray. Il a rencontré l'accusé deux jours après la mort de Michael Jackson. Conrad Murray était accompagné de son avocat, Ed Chernoff. L'entretien a été enregistré.

    Conrad Murray a déclaré à la police qu'il avait rencontré Michael Jackson à Las Vegas en 2006 et qu'il l'avait soigné, lui et ses enfants, lorsqu'ils souffraient de la grippe. Selon Murray, c'est Michael Amir Williams qui lui a demandé de devenir le médecin attitré de l'artiste pendant le This Is It Tour. Michael Jackson l'aurait ensuite à son tour appelé pour lui confirmer l'information. Devant la police, Murray a reconnu que son rôle principal pendant un peu plus de deux mois avait consisté à aider l'artiste à dormir (il a tenu des propos contradictoires au cours de l'interrogatoire, affirmant une fois que c'était "toutes les nuits" et avançant à un autre moment le chiffre de "six jours par semaine"). Il lui injectait 50 mg de propofol au maximum pour induire un sommeil artificiel et le maintenait sous sédation grâce à une intraveineuse.

    Au cours de l'interrogatoire, Conrad Murray a dit à plusieurs reprises à la police que Michael Jackson souffrait d'un problème d'addiction. Il a également déclaré que selon lui, l'artiste était devenu dépendant du propofol, si bien qu'il a essayé de le sevrer et de remplacer l'anesthésique par d'autres médicaments. Selon Martinez, Conrad Murray a donc reconnu devant la police qu'il avait administré du propofol chaque soir à Michael Jackson pendant plus de deux mois. Quelques jours avant sa mort, il aurait commencé à réduire la dose et à introduire deux nouvelles substances : le lorazepam et le midazolam. Au cours de la deuxième nuit de cette tentative de sevrage, il aurait tenté de supprimer totalement le propofol, ne laissant que les deux autres substances.

    Le 25 juin, censé être le troisième jour de ce "sevrage", Murray a déclaré que Michael Jackson était rentré chez lui vers 1h du matin, avait pris une douche et s'était changé. Le médecin lui a ensuite appliqué une crème dans le dos destinée à traiter ses problèmes de peau et lui a frictionné les pieds. Murray lui a ensuite posé une intraveineuse dans la jambe "pour l'hydrater" avec un mélange de lorazepam et de sérum physiologique (Note : le lorazepam est utilisé pour traiter l'angoisse). Il aurait injecté le mélange doucement, sur 2 à 3 minutes, dans le cathéter et non en piquant à même la peau. Il lui a également donné un comprimé de Valium.

    Une heure plus tard, Michael Jackson ne dormait toujours pas. Murray a donc injecté du diazépam (qui est également un tranquillisant). Vers 3h20 du matin, l'artiste se serait enfin endormi... Un sommeil bref, d'une dizaine de minutes (Murray a affirmé avoir consulté sa montre). Le médecin a déclaré à la police qu'il avait conseillé à Michael Jackson d'éteindre la lumière, de baisser la musique et de "méditer". L'artiste lui aurait dit que s'il n'arrivait pas à dormir, il devrait annuler ses répétitions et sa tournée. Voyant que l'artiste ne trouvait toujours pas le sommeil, il lui a de nouveau administré un médicament. 7h30. Michael Jackson ne dort toujours pas ; selon Murray, la pression liée à une possible annulation de la tournée était forte. De nouveau, du diazépam, qui ne produit aucun effet.

    Selon Conrad Murray, à 10h du matin, Michael Jackson ne dormait toujours pas et a commencé à réclamer du "lait" (nom qu'il donnait au propofol). Murray reconnaît avoir accédé à sa demande (vers 10h40 ou 10h50), en lui donnant la moitié de la dose habituelle, soient 25 mg. Une injection destinée à induire un sommeil artificiel, qui devait être maintenu grâce à une perfusion. Il était selon le médecin aux alentours de 11h.

    Michael Jackson s'est enfin endormi. Murray affirme l'avoir surveillé un certain temps et a reconnu qu'à un moment donné, il avait senti qu'il pouvait s'absenter pour aller aux toilettes situées non loin de là. Le médecin affirme que cette absence n'a duré que 2 minutes.

    En revenant des toilettes, il aurait découvert "avec stupeur" que l'artiste ne respirait plus. Il aurait alors immédiatement commencé le massage cardiaque et le bouche à bouche alors que Michael Jackson se trouvait encore sur son lit. Il utilisait une main pour lui compresser la poitrine, l'autre étant placée dans son dos. Murray a justifié ce choix par le fait qu'il n'était pas capable de déplacer Michael Jackson par terre tout seul. L'accusation a immédiatement réagi en demandant "Combien pesait Michael Jackson ?" (rappelons que selon les documents officiels, l'artiste pesait 61.7 kg au moment de sa mort tandis que Conrad Murray pèse près de 100 kg). La défense, sans surprise, a fait objection et celle-ci a été retenue.

    Murray a affirmé ne pas avoir appelé les secours parce qu'il ne voulait pas interrompre la réanimation. "Il a dit qu'il était en train de s'occuper de son patient et qu'il ne voulait pas le négliger", a déclaré le témoin. Par contre, Murray a tout de même passé un appel à Michael Amir Williams en lui demandant de faire venir la sécurité immédiatement. Il a également reconnu avoir délaissé Michael Jackson le temps de descendre prévenir la cuisinière qu'il y avait une urgence et qu'il fallait laisser la sécurité accéder à l'étage. C'est ainsi qu'Alberto Alvarez a fini par entrer dans la chambre... et que les secours ont été appelés.

    Selon Orlando Martinez, Conrad Murray a expliqué aux enquêteurs où se trouvait le matériel utilisé pour soigner Michael Jackson. Le médecin aurait eu l'air surpris de la question, pensant que la police l'avait déjà récupéré. A l'occasion de cet interrogatoire, Murray a également reconnu avoir administré de la lidocaïne diluée à Michael Jackson. Par contre, le médecin n'a jamais mentionné qu'il avait passé et reçu des appels et des textos pendant qu'il s'occupait de Michael Jackson.

    Lors du contre-interrogatoire, la défense de Murray a attaqué le témoin de manière assez frontale, comme au cours de cet échange : "Vous avez choisi les sujets que vous vouliez aborder, exact ?" "Oui". "Vous avez affirmé que le Dr Murray n'avait pas mentionné d'appels téléphoniques". "Non, en dehors de celui passé à Michael Amir". "Mais vous ne lui avez rien demandé concernant des appels téléphoniques ou des e-mails. Une semaine plus tard, vous avez demandé à obtenir les relevés téléphoniques. Vous suggérez que le Dr Murray a menti... mais vous ne lui avez tout simplement pas posé la question !" Les débats ont été si enflammés que le juge Pastor a été contraint de demander aux protagonistes de "baisser d'un ton".

    Ed Chernoff a particulièrement insisté sur le fait que Conrad Murray semblait "inquiet" du fait que Michael Jackson consomme du propofol, que l'artiste semblait "tout connaître sur le propofol" et que Murray avait tenté de le sevrer, en lui disant qu'il "n'avait pas signé pour faire ce genre de choses". Pourquoi a-t-il commencé ? "Michael Jackson s'inquiétait pour la tournée parce qu'il n'arrivait pas à dormir et il a convaincu le Dr Murray de lui donner ce Propofol". Chernoff a également fait en sorte que Martinez cite plusieurs points du témoignage de Murray qu'il avait laissés de côté lors de l'interrogatoire direct : par exemple, le fait que Michael Jackson lui demandait souvent s'il pouvait se faire l'injection lui-même, ce que Murray refusait.

    Chernoff s'est une fois de plus emporté au sujet du 25 juin, en déclarant "Le Dr Murray ne vous a JAMAIS dit qu'il avait fait une perfusion [de propofol] à Michael Jackson le 25". Cependant, Martinez a maintenu sa version en disant "c'est ce que j'ai compris". Chernoff lui a ensuite fait reconnaître que Murray avait indiqué correctement les emplacements où ils pourraient retrouver du matériel médical au domicile de Michael Jackson (semblant ainsi montrer que le médecin coopérait pleinement avec la police).

    Suite à ce contre-interrogatoire tendu, l'accusation a souhaité reprendre la main pour revenir sur un point brièvement évoqué avant : un médecin aurait administré du propofol à Michael Jackson dès mars 2009, ce que Martinez avait expliqué au cours de son témoignage. L'accusation lui a demandé où cette injection avait été effectuée. Il s'avère que le médecin en question a effectué l'injection au cabinet du Dr Murray car ce dernier possédait les dispositifs médicaux de surveillance nécessaires à une telle procédure.

    Demain, l'audience débutera à 9h15 (heure locale), soit 18h15 (heure française).

     

    Source : Elusive Shadow


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    Jermaine est toujours en Afrique, peut-être restés bloqués sur place avec un passeport périmé. Le passeport ne sera pas renouvelé jusqu'à ce qu'il soit à jour avec les paiements dans une bataille pour la pension alimentaire pour ses enfants avec son ex-épouse Alejandra (mère de son fils Jaafar et Jermjasty et l'enfant adopté Donte, elle est également mère de Randy Jr  et Genevieve enfants de Randy).

    Jermaine a rempli les papiers en Septembre 2010), alléguant qu'il ne peut plus se permettre de payer 3000 $  par mois en pension alimentaire pour ses fils Jaafar et Jermajesty. Il a demandé à un juge de réduire les coûts pour seulement $ 215  par mois, et a insisté pour son ex-femme qui gagne plus d'argent que lui et vit gratuitement à la succession de sa mère Katherine. L'année précédente , Alejandra a déposé des documents juridiques réclamant à la star 35 550 $ derrière sur les acomptes provisionnels.

    Les fonctionnaires ront écemment confisqué son permis de conduire à Jackson dans le but de lui faire payer, et ses déboires financiers l'ont piégé au Burkina Faso, Afrique de l'Ouest après son passeport ai expiré pendant le voyage.


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    Janet réunira 20 fans dans les coulisses de chaque ville de son Number Ones, Up Close and Personal Tour.

    Date Venue Place Tickets

    4 February Philippine International Convention Center Manila On sale January 10

    7 February Singapore Indoor Stadium Singapore On sale

    14 February Hong Kong Convention & Exhibition Center Hong Kong On sale

    18 February Taipei Nangang Exhibition Center Taipei On sale

    STAY TUNE SUR LE SITE JANETJACKSON.COM ET TWITTER @JANETJACKSON


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    En mars prochain, un parfum Michael Jackson sera lancé. Et il a été mis au point par un Niçois.

    Même mort, Michael Jackson reste une poule aux œufs d’or. Son père, Joe, qui a exploité son fils toute sa vie, compte bien continuer à tirer quelque revenu après le décès de son enfant. On a appris ce week-end qu’un Niçois avait signé un contrat avec le père de Jacko pour mettre au point une gamme de fragrances en hommage à la star disparue.

    Deux senteurs ont déjà été créées : Jackson’s Tribute, pour homme, et Jackson’s Legend, pour femme, qui s’inspirent tous les deux de plantes poussant à Neverland, la propriété que Michael Jackson possédait en Californie.

    « Avec Joe Jackson, nous sommes partenaires à 50/50 sur les ventes mondiales, les droits TV et les recettes publicitaires. Et une partie sera reversée aux oeuvres de charité de Michael », a assuré la société Julian Rouas Paris, qui s’occupera de la production des parfums


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