Hier a eu la diffusion de The Wiz Live ! sur la chaine NBC avec que des stars afro-américaines comme Queen Latifah, Mary J. Blige, David Alan Grier et Stephanie Mills, Mais avant The Wiz Live ! il y eu The Wiz, un film de 1978, fondée sur la comédie musicale du même nom.

Le tournage du film original a été un moment décisif pour Michael, qui aimait la façon dont son maquillage couvrait son nez et impressionner ses compagnons casting après des heures au Studio 54

Cette production antérieure de The Wiz aurait pu être tellement mieux. Il avait un grand concept (une prise afro-américaine sur "Le Magicien d'Oz" dans lequel les personnages ne suivent pas la route de briques jaunes, elles facilitent le bas), un directeur (Sidney Lumet, qui venait de faire Dog Day Afternoon et Network) et un casting solide (Diana Ross dans le rôle de Dorothy, Richard Pryor dans le rôle du Magicien d'Oz, Nipsey Russell dans le rôle de Tin Man). Et il y avait Michael Jackson, un an avant de démarrer sa carrière solo avec ses hits immortels tels que « Don't Stop 'Til You Get Enough" et "Off the Wall". The Wiz est venu à un moment parfait pour Berry Gordy et Motown Records.

Gordy devait verser 2 millions de $ de son propre argent parce que le dirigeant de Paramount, Frank Yablans, lui avait dit que le maximum un studio pourrait donner sur un film noir à l'époque était de 500.000 $. "Ceci n'est pas un film noir," Gordy a corrigé. "Ceci est un film avec des stars noires." En 1977, Motown a acheté les droits de The Wiz, un script basé sur un succès de Broadway avec des stars afro-américains pour Le Magicien d'Oz. Gordy et le producteur Rob Cohen a passé une audition à Diana Ross 33 ans, comme Dorothy. Le directeur qui a signé sur, après un certain nombre de faux départs, était Sidney Lumet, qui avait collaboré avec un jeune Al Pacino sur Dog Day Afternoon et Serpico.

Lumet a cherché un vieil ami pour demander une faveur.

Il a appelé Quincy Jones. Q ne voulait pas le faire. Jones avait aimé que trois chansons du show de Broadway « Home", "Brand New Day», et «Ease On Down The Road." Mais il se sentait redevable à Lumet, qui l'avait embauché pour de nombreuses musiques de films dans le passé. «Je sentais que je lui en devais plus d'une», a déclaré Jones, «Je lui devais beaucoup." The Wiz, c'est des stars afro américaines de haut niveau -Ross, Richard Pryor, Lena Horne. Rob Cohen, chef de Motown Productions pensa que Michael Jackson serait parfait pour le rôle de l'épouvantail, et il s’est tourné vers Gordy avec l'idée. À sa grande surprise, Gordy a acquiescé. "Aw, Michael est génial", a déclaré le chef de la Motown. "Michael est une star."

Lumet a été plus difficile à convaincre. Il voulait Jimmie "J. J. "Walker, la star de Good Times. Quincy Jones était sceptique de Jackson, aussi, mais Cohen a organisé une réunion, à New York avec MJ. Enfin, Lumet et Jones ont vu les qualités que Cohen a vu. "Ce garçon est si doux! Il est si pur! »Exultait Lumet. «Je le veux pour jouer l'épouvantail."

Le dernier obstacle était Joe Jackson, qui était pas très heureux d’un projet auquel Michael devait se séparer financièrement du reste de ses frères et sœurs. Cohen a apaisé Joe en offrant à peu près 100 000 $ pour Michael en jouant l'épouvantail. Lorsque The Wiz a commencé le tournage à New York, Michael a emménagé avec La Toya dans un appartement de Manhattan, et Michael était seul pour la première fois. Il a vécu une vie normale.

Sur le plateau, Michael a pris très au sérieux ses sessions de chorégraphie avec Louis Johnson, qui avait été un danseur de ballet afro-américain au cours des années d'avant-garde de punir Hollywood contre le racisme. Dans le film, les étapes les plus impressionnantes de Michael sont avec Diana Ross, quand il apprend à marcher maladroitement après avoir été emprisonné par les corbeaux sur son épouvantail. En chaussures de clown géantes, il trébuche, roule sur le sol, et assomme ses genoux. "Il avait vu Charlie Chaplin. Il était un grand fan de Fred Astaire et Gene Kelly ", dit Johnson. Il m'a demandé, 'Puis-je faire cela?» - Et ensuite il l’a amélioré.

«Le costume d'épouvantail de Jackson était chaud et lourd, avec une énorme perruque frisée, un chapeau et gilet en peluche avec des bouts de papier journal, pour ne pas mentionner un nez avec de la peinture. Tony Walton, la production et le concepteur des costumes du film, ne savait pas que Michael était tourmenté par son physique et qu’on l'appelait "Ugly" et "Big Nose." "Il était très heureux d'avoir le nez couvert», dit Walton. Son costume, farcies de papier journal et des morceaux de sacs poubelles, était plus lourd, mais Jackson a réussi.

Quincy Jones était toujours présent. (Dans le film, Jones apparaît vêtu d'or, jouant un piano géant à Times Square.) Lui aussi, a commencé à prêter attention à Jackson. Quand est venu le temps pour Michael de se diriger vers le microphone et a commencé à chanter, pas le Michael Jackson de "I Want You Back", mais MJ de 18 ans dont la voix avait évolué en quelque chose de lisse et puissant. Cohen, le producteur, a remarqué que Jones était bouche bée. "Il était comme, 'je le veux. » dit Cohen.

The Wiz a coûté 22 millions $ et n'a pas bien fonctionné au box-office. C’était, une expérience imparfaite spectaculaire. Michael et Diana ont une terrible alchimie, mais Ross est dépareillés pour le rôle. Non pas parce qu'elle est trop vieille (même si elle est), mais parce qu'elle joue Dorothy de la même manière, elle a joué Billie Holiday. Un problème moins évident est que pendant le tournage, la femme de Lumet à l'époque, Gail Jones, fille de Lena Horne, avait approché le réalisateur sur le plateau et a demandé le divorce. Lumet est devenu découragé-une qualité qui est sorti distinctement dans le film.

The Wiz a ses qualités intemporelles, en particulier les scènes joliment rendus à la ville natale de Lumet, montrant en évidence des monuments tels que Coney Island, Shea Stadium, et le pont de Brooklyn. Mais sa réception a été marquée par la réaction raciste. Chaînes de cinéma dans les quartiers blancs ne voulaient pas programmer The Wiz, de peur d'effrayer les habitués blancs.

Traduction : The Jackson Family Fr