Le R & B officiel Music Hall of Fame Museum est reconnue comme la seule et unique institution officielle qui honore et commémore les réalisations de nombreuses personnes et organisations qui ont contribué au genre Rhythm and Blues. Notre collection d'objets et d'autres objets d'importance historique sera disponible pour le visionnement public à travers des expositions permanentes et temporaires.

Le but du musée est de collecter, conserver, exposer et éduquer sur les différents aspects du monde du Rhythm and Blues Musique. Objets et de documents que nous avons recueillies et recueillent, ne sont pas seulement la propriété du musée, mais sont également empruntés et créés pour les différents affichages.

Le 17 Août 2013 à l'Université d'État de Cleveland dans l'Ohio, de nombreux Detroiters et anciens de Motown ont été intronisés au R & BHOF classe de première année comme The Temptations, The Four Tops, The Dramatics, et Jackie Wilson pour n'en nommer que quelques-uns.

La cérémonie d'intronisation de cette année aura lieu le 24 Août, à Canton, OH au Canton Palace Theater, et comprendra Michael Jackson, Whitney Houston, BB King, The Whispers, The Funk Brothers, The Sweet Inspiration, Marvin Gaye, Chubby Checker, Norm N. Nite, Deon Dantès, Les DELFONICS et Gene Chandler.

Participants confirmés (entre autres) sont Duke Fakir (The Four Tops), Kim Weston, Cissy Houston, Martha Reeves, Joe Jackson, et les familles de Jackie Wilson, Sam Cooke, et David Ruffin.

La chaîne américaine Reelz a annoncé aujourd'hui une série de six épisode "Living With the Jacksons", mettant en vedette les membres de la famille Jackson qui ont grandi à l'intérieur de la famille Jackson et vivent maintenant en dehors de celle-ci pour la première fois.

Alejandra Jackson est une mère célibataire de cinq enfants dont deux fils, Jaafar et Jermajesty de son mariage avec Jermaine Jackson. Genevieve et Randy Jr. qui sont la fille et le fils de Alejandra de sa relation avec le frère Jermaine, Randy Jackson. Et il y a Donte, au sujet de laquelle Reelz dit que Alejandra l'a élevé depuis l'âge de deux ans. Dans la série, ils sont maintenant tous ensemble et vivent dans une maison hors de l'enceinte de la maison familiale.

"Living With The Jacksons" est produit par ID Productions. Le 1er épisode est prévu pour le 18 novembre. 

"Le voyage de la famille Jackson a été un sujet d'intérêt depuis des décennies, et nous sommes heureux de pouvoir partager ce témoignage de première main avec nos téléspectateurs," a déclaré Rob Swartz, vice-président du développement et de la programmation actuelle à Reelz. "La série donne un aperçu émotionnel et divertissant dans une famille encore familier extraordinaire dynamique, idéal pour Hollywood qui se passe ici de l'ardoise de la programmation du réseau. «Vivre avec les Jacksons 'est vraiment un spectacle à trouver".

LA FAMILLE

Alejandra

La mère de cette famille incroyable, Alejandra a navigué dans la presse toute sa vie et a dû vivre le drame de la famille Jackson. Alejandra vient de Colombie et n'a jamais perdu son accent, quelque chose dont ses enfants se moquent assez souvent. En tant que mère célibataire, elle doit laisser s'envoler ses 2 aînés de la même manière que tous les parents le font mais être un(e) Jackson est un ensemble de défis. Alejandra est en partenariat avec son frère Franklin au Pérou où ils prévoient de relancer sa ligne de vêtements.

Geneviève

La plus âgée des enfants de Alejandra, Geneviève est une belle et douée chanteuse et interprète face à la tâche de faire sa carrière au point mort et les rêves de retour à la vitesse supérieure. Mais ce ne sera pas facile et les énormes attentes pourrait court-circuiter ses ambitions si elle ne fait pas attention. Sous son rêve se trouve la profonde douleur d'une relation aliénée avec son père, Randy Jackson, et par-dessus de tout sa vie amoureuse est tout sauf simple. Avec un producteur ex-petit ami qui veut travailler avec elle, Geneviève doit convaincre sa mère qui n'est pas d'accord qu'elle peut gérer sa vie sentimentale et une carrière dans le même temps.

Randy Jr.

L'aîné des fils d'Alejandra et de Randy Jackson, Randy Jr., rêve de devenir acteur, producteur. En contraste avec sa sœur, Randy Jr. a décidé de pardonner son père. Il pense que sa sœur n'arrive pas à faire face avec la douleur et la déception du passé et ne sera pas capable d'aller de l'avant si elle ne lâche pas prise. Le farceur de la famille, Randy Jr. reçoit constamment des ennuis et cherche toujours la prochaine blague à faire. Comme sa soeur, il marche avec les pressions de sa mère afin de se concentrer davantage sur sa carrière et moins sur sa vie sociale.

Donte

Presque le même âge que Randy Jr., Donte est le fils adoptif de Katherine et Joe Jackson. Lorsque Donte a eu deux ans sa mère biologique a accordé la garde complète de Joe et Katherine. Peu de temps après, Alejandra et Jermaine sont tombé amoureux de lui et l'ont élevé comme leur propre enfant. Ca a été difficile pour Donte quand Alejandra et Jermaine ont divorcé 13 ans plus tard, mais Alejandra était une mère passionnée et ne l'a jamais laissé tomber. Donte est posé, calme et préfère rester dans l'ombre jusqu'à ce qu'il soit sûr de son entourage. Donte veut raconter son histoire pour la première fois et son histoire d'adoption est celle qui réserve bien des surprises et montre la puissance de l'amour de cette famille pas comme les autres.

Jaafar

Jaafar, 17 ans est le fils de Jermaine et Alejandra Jackson. Il a une étonnante voix et comme Randy Jr. c'est un grand farceur et est toujours à la recherche de la meilleure façon de piéger sa sœur et ses frères. Avec son 18e anniversaire qui approche Jaafar est prêt à le célébrer en vrai mode Jackson.

Jermajesty

Le plus jeune fils de Jermaine Jackson et Alejandra a 13 ans et est le bébé de la famille. Il est espiègle et malicieux, et cherche toujours à s'amuser. Comme ses frères et sœurs, Jermajesty travaille afin de sculpter ses talents tout en vivant dans l'ombre de sa célèbre tante et son oncle.

Source : deadline.com / Traduction : THE JACKSON NEWS

Donc comme beaucoup de fans français, je suis allée voir les Jacksons au Palais des Congrès de Paris hier soir. Un moment exceptionnel, j'ai pu enfin voir (et toucher !) ceux que j'idolâtre depuis toute petite. Ils ont chanté et dansé leur plus grand succès (Medley J5: I Want You Back/ABC/The Love You Save, I'll Be There, Dancing Machine, Shake Your Body) ainsi que 4 chansons de MJ (Rock With You, Gone Too Soon, Can't Let Her Get Away et Don't Stop Til You Get Enough) pendant 1h30.

Je suis ressortis de la salle avec des étoiles pleins les yeux ! Ensuite avec plusieurs fans on a essayé de les attraper à leur hôtel mais sans succès. Mais au lieu de les rencontrer on a discuté avec les musiciens du groupe qui étaient super ! Notamment le batteur Andy Wright, il nous a parlé un peu de la famille Jackson - en disant que c'est une famille très normale, gentille et généreuse et qu'il n'y a aucune embrouille entre eux ! - 

Vous pouvez voir des photos sur la page Facebook et des vidéos sur la chaine Youtube de Jermaine

Source : THE JACKSON NEWS

Le groupe s'est reformé il y a trois ans en mémoire de leur frère disparu. Plus de quarante ans après l'Olympia, ils reviennent en France cette semaine. Rencontre.

Paris Match. Malgré la disparition de Michael, pourquoi avoir reconstitué le groupe ?

Marlon. Nous recevions des milliers d’e-mails de fans, qui ré- clamaient notre renaissance.

Jackie. Ce n’était pas facile, cela faisait vingt-cinq ans que nous n’avions pas fait de tournée.

Jermaine. Mais pour nous, c’était aussi un moyen de faire le deuil de la mort de notre frère.

Marlon. C’est triste de chanter sans lui, il nous manque tous les jours, mais quand nous chantons ensemble, son esprit est pré- sent sur scène. Et puis, voir des enfants de 5 ans danser sur des chansons composées alors qu’ils n’étaient pas nés, c’est magique. Et réconfortant.

La mort de Michael, dont on vient de célébrer le cinquième anniversaire, a-t-elle marqué un tournant dans votre vie ?

Jackie. Oui, je n’avais jamais vu la mort d’aussi près.

Tito. Où que nous allions, il y a toujours quelque chose qui nous ramène à lui, une de ses chansons qui passe à la radio, un fan qui vient nous présenter ses condoléances... Ça arrive tous les jours et c’est difficile.

Jermaine. Nous aimons notre frère, et nous en avons marre de tous ceux qui essaient de nous séparer de lui, comme s’il était diférent de nous. Ça me rend dingue quand j’entends certains prétendre mieux le connaître que nous.

Michael Jackson est bien plus riche mort que vivant. Comment l’expliquez-vous ?

Jermaine. Il a su toucher le cœur des gens. Rappelez-vous la foule qui s’est précipitée au Staples Center de Los Angeles pour son enterrement : il y avait deux millions de personnes. La police n’avait que 4 000 agents à disposition pour gérer tout ce monde. Elle disait qu’elle n’allait pas y arriver. Ma mère voulait annuler la cérémonie... La chanson de Michael “We Are the World” résume très bien le message qu’il voulait faire passer. Unifier le monde au- tour de la musique. C’est exactement le sens de notre démarche.

Racontez-nous comment l’aventure des Jackson 5 a commencé, dans les années 1960.

Marlon. C’est notre mère qui est à l’origine de tout. Elle a re- marqué notre talent. Un jour, elle dit à notre père : “Tu sais, je crois que les garçons savent chanter.” Il ne voulait pas en entendre parler. Il lui répondait : “Mais non, ils ne sont bons à rien.” Notre mère a insisté. Alors, notre père [qui jouait de la guitare dans un groupe de blues] a accepté de nous écouter chanter un morceau, et les répétitions ont commencé, dans notre toute petite maison de Gary, dans l’Indiana.

Mais vous n’avez jamais fait de solfège.

Jackie. Nous avions une motivation qui venait de l’intérieur. Nous avons appris par nous-mêmes. Marlon. Notre père nous a beaucoup poussés... Vous savez comment sont les enfants : ils veulent quelque chose, et puis ils oublient, ils se dispersent. Papa était là pour nous remettre dans le droit chemin.

"IL Y A TOUJOURS QUELQUE CHOSE QUI NOUS RAMÈNE À MICHAEL"

Comment était l’ambiance à la maison ?

Marlon. Austère. Notre mère est géniale, mais très respectueuse du dogme des Témoins de Jéhovah. Nous n’avions aucun cadeau à Noël ou à l’occasion des anniversaires, ni œufs de Pâques, ni friandises à l’occasion de Halloween.

Quel est votre meilleur souvenir de l’époque ?

Marlon. Lorsqu’on ramassait sur scène les dollars que les gens nous jetaient. Après, à l’école, on frimait. Les plus riches, c’était nous !

Mais vous étiez pauvres, à l’époque...

Jackie. Nous n’avions pas d’argent, c’est vrai, mais nous étions riches en amour, en énergie, en rêves et en bonbons, il y en avait plein à la maison.

Avez-vous souffert du racisme ?

Marlon. Du racisme, non. Mais c’est vrai qu’à l’école nos camarades ne croyaient pas en nous, ils se moquaient de nos chansons. A l’époque, nous jouions de la musique country western. Très vite, ils ont changé d’avis, et insistaient pour venir à nos concerts. Parfois, on leur en donnait un gratuit !

Comment était Michael enfant ?

Marlon. Lui et moi, nous faisions les quatre cents coups ensemble. La première fois que nous sommes arrivés à New York, nous étions logés au 30e étage de l’hôtel Warwick, et nous nous amusions à lancer des rouleaux de papier hygiénique par les fenêtres. Ils tombaient en se déroulant dans les airs, puis jonchaient le sol au pied de l’immeuble. Ce genre de bêtise nous amusait beaucoup. En réalité, nous étions tous timides dans la vie, et totalement libérés sur scène. Michael comme nous.

"AUCUN D'ENTRE NOUS N'A PRIS LA GROSSE TÊTE"

Michael était un prodige, n’avez-vous jamais éprouvé de la jalousie envers lui ?

Marlon. Non. Cela aurait pu se produire si nous avions juste été un groupe de musiciens, mais nous étions frères. Le nom de famille de Michael, c’est Jackson, comme nous. Et c’est grâce aux Jackson 5 qu’il est de- venu une superstar. Notre groupe a été sa rampe de lancement, et nous en sommes fiers, pas jaloux.

Jermaine. Ensemble, dans les années 1970, nous avons battu des records dans l’histoire de la musique. Alors que nous étions cinq inconnus, nous avons aligné quatre albums d’aflée à la pre- mière place des ventes, dont deux ont même battu les Beatles : personne n’est parvenu à faire mieux depuis. Quand nous avons chanté au Dodger Stadium [stade de 56 000 places à Los Angeles], nous y avons passé une semaine entière. Alors que les Bee Gees, eux, à la même époque n’y sont restés que deux nuits. Nous sommes les plus jeunes à être entrés au Rock’n’Roll Hall of Fame, et je crois que nous l’avons bien mérité. A ce jour, la famille Jackson, tous membres confondus, a vendu plus de disques que les Beatles, les Stones, Elvis Presley et les autres...

Jackie. Quand nous étions jeunes, nous voulions être aussi célèbres que James Brown, les Temptations ou Jackie Wilson. Ces artistes nous ont influencés, mais, aujourd’hui, c’est nous qui inspirons de nombreux artistes contemporains.

Le succès est arrivé très tôt. En quoi a-t-il changé votre vie ?

Marlon. En rien. Nous sommes restés les mêmes, des types de Gary dans l’Indiana. Rien n’a changé. Aucun d’entre nous n’a pris la grosse tête. J’ai toujours deux jambes, et je suis très heureux de pouvoir me réveiller chaque matin. Ce que le succès m’a apporté, c’est la connaissance du monde. Je connais peu de gens qui comme moi ont rencontré la reine d’Angleterre, Nelson Mandela, et fait le tour du monde plusieurs fois...

Que connaissez-vous de la France, vous qui allez y jouer pour la première fois depuis votre réunification ?

Jermaine. Nous y avons joué dans les années 1970. J’adore les Champs-Elysées à Noël... Le pain, la gastronomie, et Zinedine Zidane, même si je sais qu’il n’est plus dans votre équipe.

Marlon. ...Et moi, j’adore les Françaises. Je les connais bien !

The Jacksons en tournée : le 11 juillet à Paris (Palais des Congrès), le 24 à Monaco (Sporting Summer Festival), le 25 à Carcassonne et le 27 à Hyères. 

Les Jacksons dans Escale Estivale par franceinter