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    Il suffit d’entendre Justin Bieber parler dans le magazine Vanity Fair de ce qu’il pense de MJ pour comprendre à quel point il se sent inspiré. Il explique : "La musique est la musique. Je suis certainement influencé par Michael Jackson (…) Michael Jackson a été en mesure de toucher un public jeune et moins jeune. Il était si large. Tout le monde l’aimait. Et c’est essentiellement mon but : rendre les gens heureux, les inspirer, et mêler les racines de chacun."

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    Selon TMZ, Prince Michael ne sera pas appelé pour témoigner aujourd’hui à l’audience préliminaire. En effet, aucun membre de la famille Jackson ne sera appelé à prêter serment lors de cette première audience préliminaire. Selon les sources de TMZ, aucun témoin star ne sera appelé aujourd’hui, seulement des membres du personnels hospitalier et de la police de Los Angeles.

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    A l'approche des audiences préliminaires qui permettront de déterminer si Conrad Murray, l'ancien médecin de Michael Jackson, fera l'objet d'un procès, les spéculations se multiplient sur la stratégie que compte adopter la défense. Il est possible que celle-ci mette en avant l'hypothèse du suicide, selon laquelle l'artiste se serait lui-même injecté une dose fatale d'un puissant anesthésique, le propofol, pendant que son médecin s'était absenté aux toilettes. Thomas Mesereau, qui avait défendu Michael Jackson lors de son procès pour abus sexuels sur mineur en 2005, a tenu à réagir à ces affirmations.

    Il a prié par avance les citoyens qui seront amenés à juger le médecin de ne pas se laisser influencer par ces rumeurs de suicide. "Les avocats de la défense doivent faire quelque chose et ce qu'ils vont tenter de faire, c'est d'éloigner l'attention de leur client pour la déplacer sur Michael Jackson. La réalité, c'est que Michael Jackson n'était pas suicidaire, il n'avait pas de comportements autodestructeurs tels que ceux qu'ils essaient de décrire et avec un peu de chance, leur stratégie de défense ne sera pas couronnée de succès".

    Mesereau, qui exerce lui-même la profession d'avocat de la défense (ce qui explique qu'il n'ait pas pu intervenir dans cette affaire, où son métier l'aurait conduit à représenter Conrad Murray et non Michael Jackson), a ajouté : "Je suis navré que la défense soit obligée de traîner Michael Jackson dans la boue pour essayer d'éloigner l'attention de leur client coupable. La réalité, c'est que c'était une personne agréable, gentille et sympathique ; il voulait changer le monde de manière positive. Malheureusement, je pense que la défense va essayer de s'attaquer à sa réputation... et avec un peu de chance, ça ne marchera pas".


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    AEG Live, promoteur de la tournée This Is It que Michael Jackson devait débuter à Londres en juillet 2009, tente de faire annuler la procédure judiciaire initiée par Katherine Jackson à son encontre (Lire ici : Katherine Jackson engage des poursuites au civil contre AEG Live). Dans un document rendu public aujourd'hui, la société avance plusieurs arguments qui, selon elle, invalident les démarches entreprises par la mère de Michael Jackson devant la justice.

    Selon AEG, Katherine Jackson n'a pas le statut légal lui permettant de déposer cette plainte. Par ailleurs, la plainte ne fournirait pas selon le promoteur de faits suffisants pour que les personnes mises en accusation soient poursuivies.

    "La plainte voit juste sur un point : la mort de Michael Jackson le 25 Juin 2009 a été un événement tragique. Il a été tragique pour ses enfants. Il a été tragique pour ses fans. Et il a été tragique pour les accusés dans cette affaire, qui avaient travaillé sans relâche pour que le rêve que nourrissait Michael Jackson d'un retour triomphal sur la scène mondiale devienne réalité. Toutefois, par ailleurs, la plainte se trompe complètement tant sur la loi que sur les faits", écrit Marvin S. Putnam, avocat représentant AEG Live. Selon AEG :

    * Une telle plainte ne peut être déposée que par un représentant légal de Michael Jackson, selon le Code de Procédure Civile de Californie. Katherine Jackson n'étant pas exécutrice testamentaire, elle ne dispose pas du statut lui permettant de formuler ces accusations.

    * Si malgré tout elle souhaitait déposer une telle plainte, il faudrait que la plainte soit formulée avec plus de précision. Selon AEG, le motif actuel est trop flou : il laisse entendre qu'AEG a rompu le contrat qui le liait à Michael Jackson en faillant à prendre soin de lui. Or, selon le promoteur, ce "devoir de prêter attention" à l'artiste n'était pas prévu par les termes du contrat. AEG admet être soumis, comme toute société, à l'obligation "d'agir raisonnablement" pour que les termes du contrat soient remplis. Cependant, le promoteur dément certaines affirmations de Katherine Jackson disant que le contrat "incluait beaucoup de choses, comme le fait qu'AEG fournisse à Michael Jackson un lieu de résidence sécurisé et des moyens de transport sécurisés" et "exigeait beaucoup de Michael Jackson physiquement". AEG répond qu'il n'a jamais eu d'obligation contractuelle de fournir un logement ou un moyen de transport à l'artiste, pas plus qu'il n'était responsable de sa santé : "Le fait qu'un contrat nécessite un travail physique ardu ne rend pas pour autant l'un des contractants responsable de la santé de l'autre", écrit ainsi le promoteur.

    * Katherine Jackson a tenté de mettre en avant l'existence d'une "relation spéciale" entre AEG et Michael Jackson. Ce concept légal complexe est entouré d'un flou juridique : lorsqu'il existe une "relation spéciale" entre deux entités (personnes morales ou physiques), cela donne à l'une des deux parties le devoir de protéger l'autre de toute attaque criminelle d'un tiers. Autrement dit, selon Katherine Jackson, AEG aurait dû protéger Michael Jackson de toute intervention d'un tiers (Conrad Murray) susceptible de nuire à son bien-être. Le promoteur répond que pour qu'un tel concept soit mis en avant, il faudrait qu'il existe une relation de dépendance... ce qui, selon lui, n'était pas le cas dans le cadre de la relation professionnelle "entre AEG, un promoteur de concerts, et Michael Jackson, un artiste de 50 ans connaissant un énorme succès".

    "Ils prétendent que Michael Jackson était financièrement dépendant des bénéfices qu'il espérait récolter grâce à la série de concerts et, par conséquent, des frais et avantages en nature avancés par AEG. L'accusation prétend également qu'AEG a menacé d'exercer son droit contractuel d'annuler la tournée si Michael Jackson ne remplissait pas ses obligations contractuelles d'assister aux répétitions et de se produire sur scène. Mais ces accusations sont l'apanage de millions de relations contractuelles dans lesquelles l'une des parties dépend plus qu'une autre des bénéfices", affirme le promoteur, qui par ces propos déclare que si Michael Jackson avait besoin d'argent, cela ne créait pas pour autant une relation de dépendance vis-à-vis d'AEG au sens où la loi l'entend dans le concept de "relation spéciale".

    Quant aux accusations de Katherine Jackson affirmant qu'AEG avait exercé des pressions psychologiques sur Michael Jackson pour qu'il accepte d'être suivi médicalement par le Dr Murray, le promoteur les balaie en déclarant : "Michael Jackson n'était ni impuissant ni incapable ; il vivait dans sa propre maison, négociait ses propres contrats, engageait ses propres avocats et prenait soin de sa propre famille. Il avait à tout moment la liberté de refuser les services du Dr Murray ou d'annuler son accord avec AEG. [...] AEG ne contrôlait en aucun cas la conduite de Michael Jackson".

    * Le promoteur déclare qu'il n'a pas pu "embaucher ou superviser le Dr Murray en faisant preuve de négligence, tout simplement parce qu'AEG n'a pas embauché ou supervisé le Dr Murray du tout". Il insiste sur le fait qu'il a réalisé une ébauche de contrat avec le médecin "à la demande de Michael Jackson", afin d'envisager son recrutement en indépendant sur la tournée pour qu'il prenne soin de l'artiste. Cet accord n'aurait pas pu voir le jour sans que Michael Jackson lui donne sa validation. Par ailleurs, AEG souligne qu'en aucun cas il n'aurait pu prévoir la tragédie : "Il n'était tout simplement pas possible de prévoir (...) que le Dr Murray, un praticien diplômé sans historique connu de fautes professionnelles, allait réaliser une anesthésie au domicile de Michael Jackson et que Michael Jackson allait mourir d'une overdose liée à cette anesthésie (...) consécutive à la conduite imprudente d'un médecin outrepassant de loin les normes du soin".

    * Selon AEG, Katherine Jackson suggère que le promoteur "savait ou aurait dû savoir que Murray administrait chaque nuit à Jackson des médicaments pour dormir". La société réplique en disant qu'elle ne voit pas comment elle aurait pu le savoir et que l'accusation ne fournit aucun fait accréditant cette hypothèse. * AEG rejette également toute responsabilité dans la "détresse émotionnelle" infligée à Prince Jackson, nommément cité dans la plainte de Katherine Jackson (rappelons que selon plusieurs sources, le fils aîné de Michael Jackson aurait brièvement été témoin des manœuvres de réanimation entreprises sur son père). Selon AEG, qui cite plusieurs affaires judiciaires antérieures, il faudrait prouver que l'adolescent était présent lorsque le Dr Murray a effectué l'injection fatale.

    Pour l'ensemble de ces raisons, AEG réclame l'abandon de ces poursuites. La prochaine audience dans cette affaire se déroulera le 2 février 2011 au matin


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    L'information vient de tomber : Discovery Channel a renoncé à la diffusion de l'émission "L'autopsie de Michael Jackson", initialement prévue le 13 janvier. "Etant donné le début des procédures judiciaires la semaine prochaine et à la demande de l'Estate de Michael Jackson, la diffusion prévue du documentaire médical lié à l'autopsie officielle de Michael Jackson a été reportée pour une durée indéterminée", a annoncé la chaîne dans un communiqué, tout en refusant de commenter davantage cette décision.

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